© Maxime Sallin

Très détendus avant leur concert au Festi’Neuch 2025, le groupe de Vevey s’est confié à notre micro pour dévoiler ses secrets de compositions et quelques anecdotes croustillantes.


‭« J’ai juste beaucoup trop chaud », « On a vraiment hâte », « Cinq sur cinq, excellentes installations » : rien qu’à la première question posée sur le plaisir d’être au festival neuchâtelois, les réponses fusent… et ne sont pas coordonnées. Mais détrompez-vous : c’est une machine huilée que l’on découvre sur scène avec Fomies.

Un groupe qui s’exporte !

Formé à Vevey, le groupe roule sa bosse depuis 2017, avec des premiers concerts dans leur Riviera natale. Il s’exporte d’ailleurs bien – et assez vite – en jouant dans les meilleurs festivals de Suisse romande (Paléo, Montreux Jazz, Nox Orae, Bad Bonn Kilbi entre autres). Sans pour autant délaisser l’international, évidemment : des dates sont organisées en Angleterre, en Allemagne ou encore en France. Si globalement les moments sont précieux, certains paraissent plus étranges en témoigne une soirée à la Fête de la musique à Cherbourg :

« On a joué peut-être à un horaire qui n’était pas forcément adéquat à notre musique, où le public n’était pas forcément en adéquation avec notre musique et nous n’étions pas en adéquation avec le public… ça fait une somme de beaucoup d’inadéquations qui a rendu la scène assez bizarre où on final on a beaucoup rigolé. «  Patrick Chevalley, claviériste

Fomies poursuit sa fulgurante ascension avec des concerts prévus prochainement, notamment le B-Sides à Lucerne (19-20 juin) ou le JVAL (21-23 août) à Begnins. L’occasion de promouvoir leur excellent dernier album Liminality, à découvrir et se procurer sur leur plateforme Bandcamp.

Entre temps, vous pouvez découvrir les facettes du groupe à travers notre interview réalisée au Festi’Neuch 2025, où il a joué sur la scène de la Marée le vendredi soir.

En cadeau, des photos de leur show :

© Maxime Sallin

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© Maxime Sallin

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